Ce corps de joueur de football du Texas High School a claqué l'arbitre après avoir été expulsé du match

Texas HSFB



Les choses se sont gâtées lors d'un match de football au Texas entre les High Bobcats d'Edimbourg et les Phar-San Juan-Alamo High Bears jeudi soir. Les enjeux étaient élevés pour les deux équipes, provoquant une tension palpable au début de la première mi-temps, et c'est un euphémisme.

Le plaqueur défensif d'Édimbourg Emmanuel Duron était en retard pour le quart-arrière et a demandé de brutaliser le passeur. Après que le drapeau de pénalité a été lancé, quelque chose s'est produit après le jeu qui a justifié sa disqualification du concours. Quelques instants plus tard, après avoir été éjecté, il a couru sur le terrain et a disposé l'arbitre.






Voici un autre angle qui montre le coup initial, le deuxième drapeau arrivant après qu'un autre arbitre et le coéquipier de Duron se soient précipités pour briser une sorte d'escarmouche hors écran. Un entraîneur d'Édimbourg arrive sur le terrain et amène Duron sur la touche, où l'arbitre procède à son exclusion du match. Cela le montre passer devant un entraîneur essayant de garder Duron à distance et de courir sur le terrain. La caméra s'éloigne mais montre les deux équipes courir pour désamorcer la situation.

Duron a été le lutteur de l'année au Texas High School dans la catégorie de poids des 220 livres, donc ce n'est pas un petit enfant et courir à toute vitesse devant l'arbitre dans des coussinets n'est pas un petit coup. L'officiel est resté longtemps sur le terrain et une charrette est arrivée sur le terrain. Il a pu se lever et quitter le terrain par ses propres moyens, mais a été évalué pour une commotion cérébrale dans une ambulance à côté du stade. Le jeu a repris après un long délai.

Quant à Duron, qui a commis ce qui pourrait être considéré comme une agression criminelle potentielle en vertu de la loi texane, il a été escorté hors du stade et n'est pas revenu. L'aîné n'a pas été menotté lorsqu'il a été emmené hors des locaux et les officiers d'Édimbourg n'ont pas commenté, car ils n'avaient pas la liberté d'en parler.